LGV Côte d'Azur : Christian Estrosi roule contre le département des Alpes-Maritimes
Communiqué de Gérard Piel, Vice-président du Conseil régional PACA, délégué aux Transports et Communications, Conseiller municipal d’Antibes
Christian Estrosi vient d’annoncer son ralliement au tracé dit « des métropoles » pour la LGV Côte d’Azur.
Il confirme donc que ce tracé a été pris en otage par le rapport Balladur.
Comment vouloir la métropole Côte d’Azur et refuser à Marseille et Toulon d’être elles-mêmes des métropoles, ce qui est préconisé dans ce rapport.
En choisissant le tracé le plus onéreux, le plus long pour rejoindre Paris et le reste des grandes villes du pays alors que Nice et Marseille, par le tracé « Côte d’Azur » et le tracé « des métropoles » s’effectue dans la même durée, Christian Estrosi choisit le « non aménagement du territoire » pour notre région et l’hypertrophie du littoral.
Enfin, il acte aussi le tracé le plus cher (entre 11 et 13 milliards d’euros).
Son parti-pris risque de couter cher à la population des Alpes-Maritimes qui devra financer une grande partie des surcouts liés au choix de ce tracé.
Christian Estrosi vient d’annoncer son ralliement au tracé dit « des métropoles » pour la LGV Côte d’Azur.
Il confirme donc que ce tracé a été pris en otage par le rapport Balladur.
Comment vouloir la métropole Côte d’Azur et refuser à Marseille et Toulon d’être elles-mêmes des métropoles, ce qui est préconisé dans ce rapport.
En choisissant le tracé le plus onéreux, le plus long pour rejoindre Paris et le reste des grandes villes du pays alors que Nice et Marseille, par le tracé « Côte d’Azur » et le tracé « des métropoles » s’effectue dans la même durée, Christian Estrosi choisit le « non aménagement du territoire » pour notre région et l’hypertrophie du littoral.
Enfin, il acte aussi le tracé le plus cher (entre 11 et 13 milliards d’euros).
Son parti-pris risque de couter cher à la population des Alpes-Maritimes qui devra financer une grande partie des surcouts liés au choix de ce tracé.