Ce n'est pas aux salariés de payer la crise

Jeudi 22, vendredi 23 et samedi 24 janvier, les militants et les élus communistes iront à la rencontre des salariés de notre département pour agir avec eux et débattre du plan d'urgence présenté par le PCF.

Face à l'aggravation de la crise, la solution du président est : des millions aux entreprises et aux banques sans contreparties. Et rien pour les salaires.

En chiffres cela se traduit par : 360 milliards d'euros pour les banques, 26 milliards pour le  plan de relance  et même pas 1 milliard  pour le pouvoir d'achat !

C'est une fausse relance qui nous conduit droit dans le mur.

Tout le monde s'accorde à dire : le capitalisme est en crise. Commencer à changer cette logique qui nous mène à la catastrophe, c'est possible, urgent et nécessaire. C'est le sens du plan d'urgence que porte le Parti communiste et qu'il décline autour de 4 propositions :

1. Sécuriser l'emploi et les salaires.
2. Relever les salaires et le pouvoir d'achat.
3. Relancer les services publics et l'investissement.
4. Contrôler et réorienter les banques.

Pendant ces trois jours, les militants communistes vont distribuer 100 000 pages portant l'ensemble des propositions pour sortir de la crise.

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